Édito
Le changement de nom de l'OMT en « ONU Tourisme » marque une étape significative. Cette transformation souligne l'importance croissante du tourisme dans l'agenda mondial et réaffirme le rôle de l'organisation comme entité spécialisée des Nations Unies. Cette nouvelle ère pourrait redéfinir les politiques et stratégies du secteur à l'échelle internationale.
L'incertitude plane sur l'avenir du ministère du Tourisme en France, avec des sièges vacants et des questions sur la continuation d'Olivia Grégoire. Cette situation reflète les défis politiques et administratifs auxquels le secteur du tourisme doit faire face dans un contexte de restructuration gouvernementale.
En France, la consommation touristique reste une priorité malgré l'inflation, comme le montre le Baromètre Digital & Payments de BPCE L’Observatoire. Cela témoigne de la valeur accordée aux voyages par les Français, même dans un contexte économique difficile.
La compétition “Best Tourism Villages 2024” par ONU Tourisme incarne cette aspiration vers un tourisme plus durable et inclusif, encourageant des pratiques exemplaires à travers le monde.
Dans le domaine de l'e-tourisme, la mise en place du DMA (Digital Markets Act) pourrait changer la donne pour des géants comme Google, favorisant une concurrence plus équitable dans les services de voyage en ligne.
Ces sujets variés montrent un secteur du tourisme à la croisée des chemins, entre innovation, durabilité et défis économiques, politiques et sociaux.
Bonne lecture !